Depuis 2015, Nina Garcia mène un travail de recherche et de création autour de la guitare électrique à mi-chemin entre musique improvisée et noise. Son dispositif est réduit au minimum : une guitare, une pédale, un ampli avec lesquels elle taille le son et fouille le chaos pour en faire émerger l’inouï.
Dix ans après son premier concert en solo sous la couverture de Mariachi, Nina Garcia publie son premier album en son nom, ‘Bye Bye Bird‘ sur Ideologic Organ. Sans fards et sans démonstration, tout en clair-obscur, mélopées et fleur de peau, quasi documentaire par son approche volontairement simple du geste et de la prise de son, cet enregistrement rend compte avec une incorruptible franchise d’un moment, d’un manque, d’un état et d’une énergie à couper le souffle.
Depuis 2015, Nina Garcia mène un travail de recherche et de création autour de la guitare électrique à mi-chemin entre musique improvisée et noise. Son dispositif est réduit au minimum : une guitare, une pédale, un ampli avec lesquels elle taille le son et fouille le chaos pour en faire émerger l’inouï.
Dix ans après son premier concert en solo sous la couverture de Mariachi, Nina Garcia publie son premier album en son nom, ‘Bye Bye Bird‘ sur Ideologic Organ. Sans fards et sans démonstration, tout en clair-obscur, mélopées et fleur de peau, quasi documentaire par son approche volontairement simple du geste et de la prise de son, cet enregistrement rend compte avec une incorruptible franchise d’un moment, d’un manque, d’un état et d’une énergie à couper le souffle.
Depuis 2015, Nina Garcia mène un travail de recherche et de création autour de la guitare électrique à mi-chemin entre musique improvisée et noise. Son dispositif est réduit au minimum : une guitare, une pédale, un ampli avec lesquels elle taille le son et fouille le chaos pour en faire émerger l’inouï.
Dix ans après son premier concert en solo sous la couverture de Mariachi, Nina Garcia publie son premier album en son nom, ‘Bye Bye Bird‘ sur Ideologic Organ. Sans fards et sans démonstration, tout en clair-obscur, mélopées et fleur de peau, quasi documentaire par son approche volontairement simple du geste et de la prise de son, cet enregistrement rend compte avec une incorruptible franchise d’un moment, d’un manque, d’un état et d’une énergie à couper le souffle.